carte d'identité

PRÉNOMS & NOM ☣ Evannah Apple Dawson DATE DE NAISSANCE, ÂGE ☣ 9 juin 1995 ; 19 ans. LIEU DE NAISSANCE ☣ Bangor GROUPE SANGUIN ☣ A - SON AVIS SUR LE GOUVERNEMENT ☣ Indifférent. STATUT & ORIENTATION SEXUELLE ☣ Célibataire et hétérosexuelle. ORIGINES ☣ Américaine. ANCIEN EMPLOI ☣ Photographe. EMPLOI ACTUEL ☣ Vivre, et c'est plutôt difficile. GROUPE ☣ Nomade. PV/PI/SC ? ☣ Inventé.

histoire & caractère

[ Ma présentation est sous forme de journal. C'est donc Evannah qui se présente. ]
~ Caractère ~



Qui c'est cette catin du moyen-âge ?

Elle s'appelle Evannah. Elle a 19 ans. Elle aime s'appeler " Elle ", " Maître", ou encore " Dieu ". Elle est sûre d'elle, chiante, excentrique, détestée de tous mais elle adore ça. J'aime les hommes. Je suis une vraie je m'en foutiste, une anarchiste. Les lois, très peu pour moi. La vie est trop courte, alors pourquoi ce la compliqué avec des lois débiles. Je suis difficile à vivre. Je sais ce que je veux, je fais ce que je veux, et je dis ce que je veux. Je fais ce qu'il me plait, où je veux et quand je veux. Je bouffe tout ce qui me passe par la main. Je mange des trucs délicieux, mais parfois surprenant, et des choses même qui peuvent paraitre dégoutante. Comme les insectes. J'ai envie de te dire, tant que tu ne goutes pas, tu ne peux pas dire que c'est dégueulasse. Je suis vulgaire aussi. Je jure comme un vieux pirates. J'aime chanter et danser. Et avant 2012, la discrétion et moi, ça faisait dix. Mais depuis, j'ai dus m'améliorer. Pour ma survie.. Je rigole tout le temps. En fait, je me marre pour rien. Et pourtant, je n'ai jamais touché à la drogue, à l'alcool ou à d'autres conneries du genre. Je vie seule. J'ai toujours vécue seule, j'ai toujours vécu pour moi même, et à la rigueur, pour ma famille. Pour personne d'autre. Je n'aime pas vivre au dépend de quelqu'un d'autre. Je suis le capitaine de mon âme, le maître de mon destin. Ma vie ne serra jamais entre les mains de quelqu'un d'autre. La vie en communauté ? Et bien, ça n'a jamais été mon fort. Enfin bref, je suis comme toi, mais j'ai le petit truc en plus qui fait que je suis parfaitement unique et sans intérêt.


~ History ; Before 2012. ~




Je suis née à Bangor, une de ces villes plutôt paisible des States. Je suis née un 9 juin 1995, et je suis donc agée de 19 ans. Et ouais, 19 ans déjà que la population suporte mes sauts d'humeurs et mon caractère de merde. Mes parents ont toujours été présent pour moi, à chaque minute de ma vie. En fait, durant mon enfance, j'étais ce que l'on appelle un enfant pourri gâté. Si j'avais besoin, ou même si je réclamais quelque chose, que se soit un jouet ou un animal, je l'avais dans l’immédiat, sans que mes parents puissent dire quelque chose. De toute façon, ils ne savaient pas dire non, et peut être était-ce ça le problème. Si du côté matériel tout allait bien, en revanche, dans ma tête, ça ne tournait pas rond. Je n'ai jamais aimé jouer à la poupée comme n'importe quelle petite fille. Moi, ce que je préférais, c'était regarder les gens passer. C'est d'ailleurs pour cela que maintenant, je peux définir la personnalité d'une personne rien qu'en la voyant agir. C'est un atout, mais cela peut parfois être frustrant. Ne pas avoir à faire connaissance avec la personne pour connaitre son caractère. Enfin bref. Les passants, je les fixais du haut de ma fenêtre. J'analysais leur comportement, leur façon d'être, leur démarche et la façon dont ils parlaient. Drôle de divertissement pour une gosse, oui, effectivement. Et pourtant, c'est pas à cause de quelconques problèmes familiaux, puisque de ce côté, tout allait pour le mieux. Jamais une famille ne pouvait être aussi heureuse que la famille américaine Dawson. Bref mais une chose est sûre : Mes parents m'avaient apprit à goûter à tout, à tenter de nouvelles choses, et à ne surtout pas tomber dans la routine. Rien que pour cela, je ne les remercierais peut être jamais assez. Il n'y a rien de pire que de tomber dans un train-train quotidien. La palpitante idée de découvrir de nouvelles choses me rend tout chose. Et c'est peut être pour cela que j'étais bonne élève à l'école. J'écoutais sans relâche ce que les profs nous disaient. Je m'accrochais à chacune de leur parole, chaque révélation étant tout à fait intéressante à mes yeux. La vie de mes camarades m'importaient peu, ils pouvaient très bien bavarder sans me déranger le moins du monde. Cependant, lorsque nous sortions des cours, je rejoignais mes amis afin de faire quelques conneries. Faire un football américain dans un supermarché, une bataille de polochon à Ikéa, une bataille de bouche dans un resto', chanter tous ensemble dans la rue, et danser jusqu'au bout de la nuit. Rien de tel pour oublier les petits désagrément de la vie. Cependant, mes amis n'était pas les plus importants. C'était ma famille, et c'est tout. J'eus également quelques histoires d'amour, mais rien de bien important. L'idée de m'attacher tellement à quelqu'un que je mourais pour lui me répugnais, en quelque sorte. Vivre au dépend d'une personne, ce n'est vraiment pas quelque chose qui me plait. Et j'ai toujours tout fait pour ne jamais tombée sous le charme d'un beau prince charmant. Ce que je réussis à faire sans grande turbulence. Bref, je vivais une parfaite existence. Jusqu'à cette épidémie, en 2012. Là, ma vie à sombrer du tout au tout, même si j'essaye de garder un esprit positif. Même si cela est vraiment dur, il faut garder le smile pour vaincre le démon.

rapport d'incident

" On ne vit plus. On survit. "

L'épidémie est arrivée jusqu'à ma ville natale, là où je résidais depuis toujours. J'avais 16-17 ans. Les rodeurs sont arrivés, bouffant tout ce qui leur tomber sous la main. Comme moi en gros, sauf que je n'ai jamais mangé d'humain, et encore moins mes parents. Alors que la maladie se propageait sans limite, les zombies sont arrivé jusqu'à ma demeure. Totalement paniqué, cloitrée à mes parents, ne voulant pas les quitter de peur que nous soyons séparé à tout jamais, même dans la mort, j'essayais de garder mon calme et de ne pas hurler à plein poumons, ce qui aurait eu le don de les faire rappliquer d'autant plus vite. Les larmes aux yeux, une main sur la bouche, l'autre agrippée à ma mère, je la regardais d'un air inquiet, songeur et terrorisé. Que faire, bon sang, nous étions cerné, pris au piège comme de vulgaire gibier. Mon père saisit son fusil, et me dit d'un ton sec de monter à l'étage. Là, je n'aurais qu'à m'enfuir par le balcon. Comment descendre du balcon, déjà ? Le linge, en faire une corde, se démerder. Et eux ? Que feront-ils ? Ma mère me le dit tout net : Se sacrifier pour ma survie. Hors de moi, je lui affirmais que je ne quitterais pas les lieux sans eux. Bah en fait, j'ai quitter les lieux. Un père menaçant avec un fusil dans les doigts, c'est pas bon du tout. Pleine d'espoir pour leur survie, me disant qu'ils vivront, qu'ils s'en sortiront avec un minable fusil, je franchis à toute vitesse les escaliers, accédant au premier étage, et donc au balcon. Je saisis tout les draps, tout en emportant avec moi le flingue de mon père, policier et justicier de cette ville. Je pris mon sac à dos, y pris des munitions. Je rangeais l'arme, fis une sorte de corde avec tout ce que je trouvais, et escaladais le mur de ma maison. Des rodeurs m'attendaient. Je me retins d'hurler une nouvelle fois, et courais d'autant plus, afin de leur échapper. Une voiture abandonnée, avec les clefs dessus. Je rentrais dedans, et sans réfléchir, je fis le tour de la maison, à la recherche de mes parents. Toutes vitres fermées, les zombies se jetaient sur moi. Et je criais de tout mon âme lorsque je vis parmi eux mes biens chers parents. Jusqu'à en perdre halène, je criais, je pleurais, puis démarrais à fond. Je quittais ma ville, mes amis, ma famille. Dès à présent, j'étais bel et bien seule. Et je ne vivrais plus que pour moi. Mes parents sont mort pour que je puisse vivre. Ils ne seront pas devenu ces êtres sans âme pour rien. Au final, la voiture me lâcha en cours de route. J'appris donc seule, au dépend de ma vie à me défendre moi même, à grimper dans les arbres et à vivre dans un monde plus sauvage que jamais. Je parcouru les états-unis, et finalement arrivais dans une ville : Heaven's Land. Je ne connais pas cet endroit, je sais juste que c'est là où je trouverais des survivants. Maintenant, il ne me reste plus qu'à découvrir cette ville encore inconnu à mes yeux. Et il y a peu être une mince lueur d'espoir pour que je revive de façon heureuse, même si je suis traumatisée pour le restant de ma pitoyable vie, dans ce monde violent et abominable.

derrière l'écran

PSEUDO ☣ Loune ÂGE ☣ 14 ans FRÉQUENCE DE CONNEXION /7 ☣ 6/7 OU AS-TU CONNU LE FORUM ? ☣ Bazzart ♥. CODE DU RÈGLEMENT ☣ validé par lunaelle AVATAR ☣ Taylor Momsen.

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